Tout le dossier Tout le dossier
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NF P 16 005 Systèmes de récupération de l’eau de pluie
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Pour une gestion raisonnée des eaux pluviales
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L’infiltration par revêtements poreux
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L’utilisation de l’eau de pluie se banalise
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Des puits d’infiltration des eaux pluviales en plein centre de Paris
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Innovation
Gestion des eaux de pluie : un bassin alvéolaire totalement visitable
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Innovation
Comment utiliser l'eau de pluie ?
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Innovation
Lafarge lance un béton drainant pour gérer les eaux pluviales
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Stocker l'eau en souterrain ou dans les espaces publics ?
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Taxe pour la gestion des eaux pluviales urbaines
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La taxe sur la gestion des eaux pluviales opérationnelle en 2012
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Paris 13e Des biotopes marécageux à Paris Rive gauche
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Lille Un jardin alimenté par captage souterrain
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Saragosse Un paysage agricole irrigué devient parc
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Dépenses d’équipements de récupération des eaux de pluie (application de l’article 200 quater du Code général des impôts)
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Equipements de récupération des eaux de pluie : application de l’article 200 quater du code général des impôts relatif aux dépenses d’équipements de l’habitation principale et modification de l’article 18 bis de l’annexe IV à ce code
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Paysage d’îles jardinées et de passerelles
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Environnement
Récupération de l'eau de pluie : un arrêté pour le crédit d'impôt
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Eaux pluviales : une ressource à intégrer
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Environnement
"L’arrêté sur la récupération des eaux de pluie légitimise notre existence"
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Un parvis de collège inondable
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Innovation
Des produits plus faciles à vivre et moins énergivores
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La norme arrive fin 2010
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Un parking sur quatre hectares de prairie
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Acteurs Montée en puissance des modules préfabriqués
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Un jardin d’eau au rythme des précipitations
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Une structure « bactériologique »en béton et maille acier
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Récupération des eaux de pluie dans une tour HQE
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Innovation
Récupérer l'eau de pluie à l'intérieur des bâtiments
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Stockholm Une trame bleue pour un quartier central
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Chantier 20 m3 d’eaux pluviales au pied d’un chalet savoyard
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Culemborg Le bras mort d’un fleuve reconstitué
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Ateliers HQE avec récupération d’eaux pluviales
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Transposition de la directive 2000/60/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2000 établissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l'eau
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Loi sur l'eau et les milieux aquatiques
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Normes
Récupération des eaux pluviales : des coûts importants pour les communes
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Grenelle 2 Loi portant engagement national pour l'environnement
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Utilisation d’eaux issues du traitement d’épuration des eaux résiduaires urbaines pour l’irrigation de cultures ou d’espaces verts
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Arroser avec des eaux usées. Possible mais encore contraignant
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Des eaux usées traitées pour arroser les espaces verts : c’est possible !
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L’eau et les écoquartiers. Un duo indissociable
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Une ressource à mieux exploiter
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Chantiers
La gestion des eaux de pluie transforme le paysage urbain
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Innovation
Quand les eaux de pluie renforcent la biodiversité
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Récupération des eaux de pluie et usage à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments
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Fiche n° 4.05 Utilisation de l'eau de pluie dans les réseaux à l'intérieur des bâtiments
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Réseaux d’eau Récupérer l’eau de pluie : nouvelles possibilités… nouvelles exigences
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Utilisation des eaux de pluie : protéger le réseau d'eau potable
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Contrôle des installations privatives de distribution d’eau potable, des ouvrages de prélèvement, puits et forages et des ouvrages de récupération des eaux de pluie
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Environnement
La récupération des eaux de pluie enfin encadrée !
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Droit de l'environnement
Récupération de l'eau de pluie, en cas d'absence de réseau public
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Des alvéoles légères sur membrane ultrafine
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Les noues paysagées. De l'utile à l'agréable
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Assainissement Un nid-d'abeilles régule les eaux pluviales en toiture
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Mobilité
Illinois : un rond-point qui collecte les eaux de pluie et accueille les piétons
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Couverture Un système multitoiture pour le stockage des eaux pluviales
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Dalles Créativ’Synthétique Des parkings verts toute l’année
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Energie
Design durable made in Corée pour récupérer l'eau de pluie
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Energie
Eau pluviale : " le label HQE reflète les limites de la réglementation française "
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Un mail planté inondable pour un nouveau quartier
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Boulogne-Billancourt. Le double usage du Parc du Trapèze
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Un tunnel de 80 000 m3 en zone urbaine pour stocker les eaux de pluie
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Chantiers
Réaménager des espaces verts autonomes en eau malgré des contraintes urbaines
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Tendances Un marché sous pression… environnementale
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Innovation
Un marché relancé par les exigences environnementales
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Grenoble L'eau de pluie stockée et redistribuée
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Innovation
Industriels et installateurs passent à l'attaque
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Innovation
Stratégies industrielles : lever les freins au développement
Ateliers HQE avec récupération d’eaux pluviales
Descriptif : eau stockée dans 3 citernes de 10 m3 et distribuée par un surpresseur de 4 m3/h • Spécificité : un réservoir à vessie évite les démarrages répétitifs • Usages : alimentation de 3 WC, d’une aire de lavage de véhicules et d’une serre horticole • Coût : près de 30 000 €.
ALAIN SARTRE
Inauguré fin 2008, le nouveau Centre technique municipal (CTM) de la commune de Saint-Nolff, près de Vannes (Morbihan), a été construit selon une logique de Haute qualité environnementale (HQE). Il abrite 90 m² de bureaux, avec vestiaires et sanitaires, qui répondent à une conception exigeante en terme d’efficacité énergétique. L’enveloppe de cette partie du bâtiment se compose de briques « monomur » avec doublage isolant en laine de chanvre et enduit à base de chaux. Le chauffage est assuré par une pompe à chaleur, tandis qu’un chauffe-eau solaire produit en priorité l’eau chaude sanitaire.
D’une surface d’environ 600 m², la partie ateliers, garage et stockage, fait appel à du parpaing avec bardage métallique. La couverture est supportée par une charpente en bois lamellé-collé. Les deux pans de la toiture culminent à deux hauteurs différentes : occasion d’aménager au droit du faîtage un bandeau translucide vertical à fonction d’éclairage naturel. La partie exposée au sud supporte les capteurs du chauffe-eau solaire, ainsi que les panneaux d’une centrale photovoltaïque de 2,5 kW.
Les descentes d’eaux pluviales sont toutes raccordées à un réseau de collecte enterré qui alimente 3 citernes en béton armé de 10 m3 chacune. Ces cylindres verticaux, alignés au fond d’une même fouille, sont reliés par une canalisation basse et équipés d’un dispositif de ventilation. Ils se remplissent simultanément. Le surplus éventuel peut être évacué vers un collecteur du réseau d’assainissement public par un trop-plein avec siphon.
L’eau est déversée en tête de l’une des cuves, par une canalisation qui traverse la paroi de la rehausse. « Il s’agit de rehausses et tampons en matériau de synthèse fabriqués selon notre propre cahier des charges », explique Xavier Conrardy, gérant de la société Technocean qui a assuré la conception et mise en œuvre complète du système de récupération des eaux pluviales. Premier intérêt : leur hauteur est modulaire. Des nervures facilitent un découpage propre pour adaptation à la profondeur d’enfouissement. Second intérêt : la texture du parement intérieur permet de positionner et maintenir très simplement un filtre panier à grillage inox (tamis de 100microns).
1 pompe de 800 W
Le pompage est assuré par un groupe de surpression Hya-Rain de la société KSB. Encombrement : hauteur de 63 cm, pour une largeur de 41 cm, avec une profondeur maxi de 36 cm. Installé à l’intérieur du bâtiment, dans un local technique, ce module compact à fixation murale abrite sous son capot design deux composants essentiels : une pompe centrifuge multicellulaire autoamorçante et un réservoir de 13 litres raccordé au réseau d’eau potable. Ce dernier est destiné à prendre le relais en cas d’épuisement du stock d’eau pluviale. Alimenté par un robinet à flotteur, il intègre une disconnexion par surverse : le branchement au réseau d’évacuation comporte une garde d’air de 5 cm, hauteur minimale conforme à la norme NF EN 1717. Cette protection évite tout retour susceptible de polluer l’eau destinée à la consommation humaine.
Le corps de la pompe est alimenté par une double tubulure commandée par une électrovanne 3 voies. En temps ordinaire, c’est l’eau pluviale des citernes qui est puisée. Lorsque le niveau devient insuffisant, un interrupteur flottant fait basculer la machine sur le réservoir d’eau potable. Afin d’éviter tout problème d’amorçage, il faut veiller à la pente régulière et continue – sans point bas – de la canalisation d’aspiration. Le surpresseur peut fonctionner seul jusqu’à un décalage de hauteur de 7 m. Au-delà, le fabricant recommande de prévoir en fond de cuve une pompe nourricière d’appoint.
D’une puissance de 800 W, le groupe Hya-Rain développe les caractéristiques maximales suivantes : débit de 4 m3/h (soit 1,1 l/s) et hauteur de refoulement de 43 m. Il se déclenche automatiquement dès que la pression dans le réseau de distribution tombe en dessous de 2,5 bar. Son niveau de bruit est équivalent à celui d’un lave-vaisselle, soit environ 48 à 50 dB(A).Le tableau de commande intègre un interrupteur marche/arrêt, un affichage de la pression de service, un commutateur avec voyants signalant les trois modes de fonctionnement possibles : automatique, marche forcée sur citerne ou sur réservoir d’eau potable. Une version plus sophistiquée, avec sonde complémentaire, permet de connaître la réserve d’eau de pluie disponible.
5 points de puisage
Le surpresseur alimente en eau pluviale les trois WC du Centre technique. Il dessert en plus deux points d’utilisation extérieurs : une aire de lavage des véhicules de service et le futur emplacement d’une serre horticole (qui reste à construire) utilisée pour préparer les plantations de la commune. D’ailleurs, il est prévu que le stockage de 30 m3 serve également à l’arrosage municipal. La conduite de refoulement du Hya-Rain, en direction des 5 points de puisage, est équipée d’un filtre et d’un compteur d’eau. Le réseau de distribution est complété par un réservoir à vessie d’une centaine de litres qui évite les démarrages répétitifs. Les canalisations sont repérées sur toute leur longueur par un pictogramme « eau non potable », comme cela est exigé par l’arrêté du 21 août 2008 relatif à la récupération des eaux de pluie et à leur usage.
Rappelons qu’il est possible d’alimenter un robinet de soutirage à condition qu’il soit verrouillable : son ouverture s’effectue à l’aide d’un outil spécifique, non présent en permanence.
L’installation a coûté près de 30 000 euros. « Cet investissement rentre dans le cadre de notre Agenda 21 : nous n’avons pas fait de calcul d’amortissement », indique Marc Le Nivanen, responsable des services techniques de Saint-Nolff. Exemplaire et pédagogique, cette réalisation participe à une politique de développement durable, avec la volonté de faire partager cette préoccupation par la population.
En l’occurrence, il ne s’agit pas d’une première expérience. En 2006, la commune a été amenée à reconstruire des toilettes publiques. Elles ont été alimentées – ainsi d’ailleurs que les WC d’une bibliothèque proche – par une cuve de 20 m3 qui recueille les eaux pluviales de la toiture d’une Maison de l’Enfance. Également réalisée par Technocean, l’installation fait aussi appel à un groupe Hya-Rain. À l’époque, la durée de l’amortissement a été estimée à 8,5 ans.
L’installateur Xavier Conrardy gérant de Technocean« Nos compétences couvrentles installations de A à Z ».
« Nous sommes spécialisés dans la récupération des eaux pluviales, aussi bien sur le marché des particuliers, que des entreprises et collectivités locales. Nous maîtrisons toutes les étapes d’une installation : de la conception au SAV, en passant par la mise en œuvre des citernes et groupes de surpression.
Notre offre, et compétitivité économique, résulte d’une réflexion sur la technologie des équipements et d’un travail de sélection des produits. Nous disposons notamment d’un stock de citernes achetées directement auprès d’un producteur. Ensuite, nous partageons un parc de matériels –camions et engins de chantiers – avec une entreprise spécialisée dans les piscines et espaces verts.
Notre société existe depuis 2006. Elle emploie aujourd’hui 4 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’environ 600 000 € sur quatre départements : 56, 44, 29 et sud 35. Nous avons déjà posé près de 400 cuves, dont 80 avec système de potabilisation. Nous intervenons soit en direct, soit en partenariat avec des plombiers ou maçons. »
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Une version « allégée »En 2008, la société KSB a commercialisé un nouveau groupe de surpression appelé « Eco-Rain ». Doté des mêmes caractéristiques que le Hya-Rain, ce modèle bénéficie d’une conception plus dépouillée, donc plus économique. L’absence d’habillage permet de bien distinguer le moteur électrique de la pompe, dont le corps est intégré dans le réservoir d’eau potable.
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