Parcours à l’international : de jeunes expatriés du BTP témoignent
L’international a le vent en poupe dans le BTP. Ce dossier "Campus" vous convie ainsi à un tour du monde en compagnie de jeunes expatriés du BTP, qui racontent leur aventure à la fois professionnelle et personnelle.
Caroline Gitton
Découvrir une autre culture, profiter de la beauté de nouveaux paysages ou encore s’adonner à des activités inaccessibles en France. Travailler un temps à l’étranger permet de joindre l’utile à l’agréable. Cela tombe bien : l’international a le vent en poupe dans le BTP. Face à un contexte économique maussade, certains choisissent d’aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs… L’opportunité de l’expatriation se présente en général après plusieurs années d’expérience en entreprise, mais aussi en stage de fin d’études ou dans le cadre d’un volontariat à l’international (VIE). Une expérience formatrice et une excellente carte de visite pour la suite. Faire ses premières armes dans un autre pays peut surtout servir de tremplin pour se faire recruter.
Invitation au voyage
Basés aux quatre coins du monde, six jeunes professionnels du BTP ouvrent les portes de leur chantier pour Le Moniteur Campus, racontent leurs premiers pas sur place, et évoquent les défis qu’ils doivent relever. Ils font aussi partager leurs découvertes : splendeurs naturelles en Australie, fêtes et musique dans les Caraïbes, étendues désertiques au Moyen-Orient… Nos jeunes témoins livrent leurs états d’âme. Sans détour, car il faut aussi compter avec les contraintes de l’expatriation, comme l’éloignement ou le décalage horaire. Mais tous ont appris des autres, et gagné en autonomie dans leur travail.
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